Introduce French graphic designer-director, Clément Legrand.
Clément Legrand
He could have been Rothko’s best friend, Cocteau’s muse or Mondrian’s protégé. The soul of Edward Hopper in the body of Saint Laurent. Théophile, Cédric, Florimon, Raphaël or Clément Legrand…it does’t matter if we talk about the artist himself or his personas, “he” could have been all of these at once: a tortured, yet sexually liberated person. The adventure started when Clément Legrand – graphic designer & director – was asked to illustrate two songs from Françoise Fabian’s repertoire: “Ce diable d’homme” by Charles Aznavour and “La conversation” by Vincent Delerm. Immediately favorites, his two creations mark the beginning of an artistic current that the artist took a lot of pleasure in imagining.
Since then, he has been stirring up trouble, his imagination overflowing. His strokes undress men, humanizes them and sexualizes them more than ever. In his universe – largely inspired by Tom Ford’s porn-chic commercials – his characters leave in their wake the heady scent of bodies after making love. When night falls, when Lorenzo & Co are on the run, the whole neighborhood vibrates, between cigarette puffs, bursts of laughter and groans of pleasure.
Il aurait pu être le best buddy de Rothko, l’égérie de Cocteau ou le protégé de Mondrian. L’âme d’Edward Hopper dans le corps de Saint-Laurent. Théophile, Cédric, Florimon, Raphaël ou Clément Legrand… Peu importe que l’on parle de l’artiste lui-même ou de ses personnages, « il » aurait pu être tout cela à la fois : un être torturé mais sexuellement libéré.
L’aventure a commencé lorsque Clément Legrand – graphiste & réalisateur – fut sollicité pour illustrer deux chansons du répertoire de Françoise Fabian : «Ce diable d’homme» signée Charles Aznavour et «La Conversation» de Vincent Delerm. D’emblée adorées, ses deux créations marquent ainsi le début d’un courant artistique que l’artiste a pris beaucoup de plaisir à imaginer.
Depuis, il sème le trouble à tout va, de son imagination débordante. Son trait déshabille les hommes, les humanise et les sexualise plus que jamais. Dans son univers – largement inspiré par les publicités porno- chic à la Tom Ford – ses personnages laissent dans leur sillage le parfum entêtant des corps après l’amour.
À la nuit tombée, quand Lorenzo & co sont en goguette, c’est tout le quartier qui vibre, entre bouffées de cigarette, éclats de rire et râles de plaisir.
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